Une réflexion en hommage à Olivier Debré, Willem de Kooning, Nicolas de Staël,
Giorgio Morandi et Gerhard Richter
« De même qu’en Jazz il y a des musiciens pour musiciens, il existe en Peinture des peintres pour peintres. Giorgio Morandi jouissant auprès de ceux-ci d’un prestige quasi religieux;
Karen Wilkins écrit – qu’il est parfois tentant de considérer la manière de réagir à l’œuvre de Morandi comme une mesure de la capacité de percevoir les questions fondamentales de la peinture. »
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